La dissolution du fonds de développement de l’industrie cinématographique porte un coup dur au septième art algérien. Sofia Djama ne mâche pas ses mots.
La dissolution du Fonds de développement de l’art, de la technique et de l’industrie cinématographique (Fdatic) signe purement et simplement, « la mise à mort du cinéma algérien, estime la réalisatrice. On accumule du retard avec des projets bloqués depuis deux ans, alerte la cinéaste. Les professionnels sont dans une situation de plus en plus précaire. Il est impossible de se projeter. »